• Je demeure dans les Hautes Alpes. Je ne pouvais pas ne pas parler d'un magazine super populaire et gratos distribué dans le 05. Dans ce magazine on y trouve tout ce qui fait la vie, la passion, la découverte, le sport....bref, tout ce qui fait une vie pleine et remplie. Vous avez d'aller vous ballader dans une brocante, hop, consultation du Néon et le lieu, la date est trouvée. Un bon resto, un super boucher, un marché, ....tout y est ! Vous cherchez du boulot, on le trouve aussi. Envie d'un spectacle, d'une sortie, y a qu'à lire le Néon ! Voilà, je vous mets le lien, et surtout n'hésitez pas, consulter, feuilletez, éclatez vous dans le 05.

    http://www.theneon.com


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  • Hier soir, je zappais et je suis tombée sur la fin du concert de Jojo national sur la 1. Franchement, pas trop ragoutant le jojo. Je pensais qu'il était un peu vieux pour faire de la scène, qu'il devait peut être raccrocher ! Ben après avoir vu 10 mn de son spectacle, je confirme : je pense qu'il devrait vraiment arrêter la scène ! Je me rappelle de Jojo courant, sautant, dansant. Là, j'ai vu un vieux qui avait les genoux qui coincent, qui ne pouvait plus gueuler comme avant, qui avait un visage momifié, tendu (par la chirurgie). Des spectateurs pleuraient devant la scène. Certains penseront que c'était d'émotion, moi je me disais : "ils pleurent devant un tel spectacle, jojo n'est plus ce qu'il était !" Cette star ne sait pas quand il doit arrêter, quand enfin il doit raccrocher. Ben je le lui dis : jojo arrête, prend ta retraite. Fais encore quelques cd, chante en studio, mais arrête de te trainer sur une scène, tu vas y laisser le peu de vitalité qu'il te reste ! Pathétique !


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  • Une petite histoire que j'ai entendue et que j'avais envie de répéter (oh la rapporteuse). Une femme a tué son mari. Oui, elle l'a abattu froidement, sans complexe, d'un seul coup de feu en pleine tête. Les gendarmes l'arrêtent, lui demande "pourquoi, mais pourquoi avez vous tué votre mari ?". En effet, rien n'explique son geste. Le couple s'entendait bien, pas de dispute, aucun des deux ne frappait l'autre. Rien, nada, calme plat, amour parfait...et qui durait depuis....longtemps. La femme a fini par s'expliquer. Son mari et elle s'entendaient bien, chacun travaillait de son côté, participait à la vie familiale, au ménage, aux dépenses, etc etc. Quelquefois des disputes, mais dans quel couple on ne s'engueule jamais hein ? Le mari dit souvent à sa femme qu'il l'aime, qu'il veut vraiment finir sa vie avec elle, qu'elle est la femme de sa vie, etc etc. Un jour, ce couple sans histoire, fait rentrer internet (ce diable) dans la maison. Ils sont contents, ils peuvent télécharger (légalement), discuter avec la famille qui vit à perpette les oies, voir les photos des amis, bref, internet c'est la communication dans la maison, le bonheur ! Le temps passe, tout va toujours bien. Mais c'est là que l'histoire se corse ! La femme (Mathilde) se rend compte que son mari (Georges) devient irritable, nerveux. Quand il rentre du travail, il l'embrasse rapidement "salut chérie, bonne journée ? Moi, je suis crevé ! Je vais lire mes mails ! On mange quoi ce soir ?" et hop, il cavale sur le net. Il y reste pratiquement jusqu'à l'heure du repas. C'est comme ça pratiquement tous les soirs. Un soir, à table, le couple discute de la journée, fait des projets de week-end. Georges, très gentiment, propose d'emmener Mathilde quelque part, ça va être une surprise ! Mathilde est ravie. Pendant qu'elle fait la vaisselle, Georges se cramponne à son clavier, et que ça tapotte, que ça tapotte. Mathilde sourit. Georges lui prépare la surprise, elle est contente. Il se donne du mal le pauvre, à chercher les touches sur le clavier, à galérer à lire, après une journée de travail, les pages d'internet, de google, de recherche, .... Mathilde, toute amoureuse qu'elle est, prépare un café à Georges, lui met sur un plateau, avec une belle tranche de cake qu'elle a fait après sa journée de boulot. Et doucement, pour ne pas renverser le café, elle va dans le bureau faire la surprise à son homme. Oh il va être content Georges, un bon café après un bon repas ! Mathilde entre dans le bureau, sans bruit, toute contente, toute ravie, se glisse derrière Georges, et tout en posant le café sur le bureau, regarde l'écran de l'ordi. Elle ne comprend pas, elle est surprise. Elle s'attendait à voir un site de vacances, de séjour. Elle voit un site de rencontres, d'annonces de femmes qui cherchent l'amour, la baise, l'amitié. Mathilde est assez choquée. Elle regarde Georges, tout rouge, et lui demande "tu fais quoi là ? Tu discutes avec qui ? C'est quoi ces femmes ? Je ne te suffis pas ?" Georges est un peu embarrassé ! Il se reprend et répond "mais non chérie, tu n'y es pas. Ca n'est pas de l'amour, je discute c'est tout. Ce sont des copines. On échange des mails, histoire de parler". Mathilde "mais parler de quoi ? Moi, tu me parles, je te réponds. Pourquoi as tu besoin de parler avec d'autres femmes ? C'est quoi ces histoires Georges ?". Georges est assez péteux. Il ne sait pas trop quoi répondre. Ben oui, il est comme un con le Georges ! Il s'explique, bafouille, se reprend. Finalement, à force de discuter, il pense avoir convaincu Mathilde qu'il ne fait rien de mal. Que les discussions, c'est pas pervers, c'est pas de la tromperie. Mathilde se contente de ses réponses et va se coucher. Georges dit au revoir précipitamment à ses conquêtes virtuelles et hop, il rejoint Mathilde, la queue entre les jambes. Le lendemain, Mathilde ne dit rien. Elle vaque à ses occupations, normalement. Dès que Georges part travailler, elle se précipite sur l'ordi et que je te fouille, que je regarde les comptes hotmail, les messageries instantannées, les fichiers cachés, enregistrés. Elle cherche sur le courrier de Georges, sur les sites de rencontres. Et elle trouve Mathilde, oui, elle trouve. Des annonces de Georges qui se présente comme célibataire, et propose sur plusieurs annonces des discussions d'amitié et plus si affinités. Elle est un peu déboussolée la Mathilde. Toute la journée, elle fouine, elle trouve. Le soir, Georges rentre du boulot. Mathilde est dans la maison, il le sait, mais il ne la voit pas. Il dit comme d'habitude "bonsoir chérie. Bonne journée ? Qu'est ce qu'on mange ce soir ?" et il fonce dans le bureau. Mathilde est là. Elle pointe le flingue, tire et ne le rate pas. Elle lui répond : "du porc froid ! Ca ira comme repas ?"

    Alors, avant de vous lancer dans les sites bizarres, les rencontres à deux balles, les discussions foireuses sur le net, assurez vous qu'il ne traine aucune arme chez vous, planquez les couteaux et surtout, enfermez vous dans le bureau. Un café fatal est si vite arrivé !


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  • Bientôt sur les paquets de cigarettes ils vont nous coller des images terrifiantes du genre poumons cancéreux, langues dégueu, etc etc...histoire de nous faire comprendre, à nous fumeurs, quels risques nous encourrons à continuer de nous intoxiquer. Mais moi, j'en ai marre. Je fume, j'ai envie de fumer, et j'emmerde ceux qui veulent m'en empêcher ou m'en dégouter. J'avais envie de dire que si on veut aller au fond des choses, il faudrait aussi faire comme suit : sur les paquets de bouffe diététique ou de régime, coller des photos de filles anorexiques, mesurant 1,80m et ne pesant que 40 kg. Il ne faut pas oublier de mettre sur la bouffe grasse ou sur les paquets de bonbons, de gateaux, sur les boissons sucrées, des photos de personnes obèses, allongées dans leur lit, ne pouvant plus bouger. N'oublions pas non plus d'y coller des coeurs entourés de graisse, ne pouvant plus faire leur boulot de pompage de sang. Et oui, allons au fond des choses ! Sur les bouteilles d'alcool, des images de viol, d'inceste, de violences conjugales, d'accidents de voiture. Sur les panneaux électoraux, en plein milieu des affiches nous incitant à aller voter pour tel ou tel candidat ou liste, n'oublions surtout pas d'y apposer les scandales financiers, les pots de vins, les détournements de fonds. Et au parlement, on pourrait coller la photo de tous les sénateurs, députés qui ronflent pendant les séances....oh oui, on pourrait faire tout ça hein ! Mais bien sur, ça ne sera jamais fait ! Alors bordel, foutez la paix aux fumeurs !


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  • Nous sommes rentrés de notre week end à Lyon. C'était génial, mais qu'il a fait chaud, de dieu ! Ici, à Gap, il fait aussi très chaud. Mais dans ma vieille maison, très ancienne, il fait bon. Donc, nous étéyons (je sais, ce mot n'existe pas, mais nous disons bien hibernons alors pourquoi pas étéyons !). Hier, je suis sortie dans mon jardin, sur les coups de 19H, histoire de faire un peu de jardinage. Que j'ai eu chaud ! Ca me fait penser à une histoire de chaleur.

    Il y a longtemps, par une belle journée d'été, j'étais dans une base de loisirs avec mes enfants (qui étaient assez jeunes). Nous étions du côté des balançoires et je poussais les enfants histoire qu'ils se balancent. Un couple se pointe, avec une poussette. Dans la poussette, il y avait un bébé qui ne devait pas avoir plus de 1 an. Ce jour là, il faisait très très chaud, du 30° au bas mot. Le bébé, dans la poussette, était tout rouge. Je dois préciser qu'il avait un manteau et un bonnet plus un ensemble pantalon avec chaussettes et chaussures bien montantes. Le bébé était tout rouge, tout transpirant. La mère a dit à ce que j'ai supposé être le père et le mari : tu ne crois pas que machin a trop chaud ? Regarde, il est tout rouge !. Le père regarde dans la poussette et répond à sa femme : "Tu sais, un bébé doit savoir s'exprimer. Dès son plus jeune âge, il doit acquérir des notions de demandes réelles, efficaces, etc etc... Tu comprends chérie, nous ne devons pas trop le couver. A lui d'exprimer à sa manière le fait qu'il a trop chaud. C'est toute sa vie qui va découler de sa prise de positions, de ses affirmations et patati et patata. La femme opine du bonnet : oui, je sais mon chéri, mais tu ne crois pas qu'il a trop chaud ? Peut être qu'il est trop petit pour exprimer ses désirs ? Le mari n'en démord pas : bébé machin doit s'exprimer ! Le couple a cette conversation en passant près de moi, alors que je pousse mes enfants sur une balançoire, mes chers enfants qui sont en tee shirt et short, qui ont chaud quand même. Je ne peux donc pas m'empêcher d'intervenir. "Madame, Monsieur, vous ne pensez pas que votre enfant a trop chaud ? Il fait au moins 30° et avec son bonnet, son manteau, il doit être à moitié mort dans sa chaleur. Vous ne pourriez pas le découvrir, l'aérer ?" Le bonhomme me regarde de haut, alors qu'il est plus petit que moi. "Non madame, un enfant doit pouvoir exprimer dès son plus jeune âge....." et il me sort une thérorie lue dans les livres, apprise par coeur. Bref, je sens que je m'énerve....et en plus j'ai chaud, et en plus, il me gonfle à me prendre de haut. Je rétorque : "vous savez votre enfant exprime peut être, à sa manière, qu'il a trop chaud. Mais vous ne voyez peut être pas les signes qu'il vous envoie. Par exemple, il est tout rouge, il ne pleure plus, il est à moitié mort. Il vous faut quoi comme signes supplémentaires, sa mort ?" Le roquet me toise, et a l'air de vouloir passer son chemin, sans plus s'occuper de moi. Mais mon bonhomme, ça ne se passera pas comme ça, tu ne sais pas à qui tu as à faire ! Je crie plus fort, histoire de rameuter les personnes qui sont près de nous. Obligatoirement, les gens se rapprochent, et un attroupement se forme. Comme de bien entendu, les autres parents sont d'accord avec moi. Mais le roquet ne cède pas. C'est son fils, il fait ce qu'il veut ! Ok, on va donc gueuler un peu plus fort ! Nous sommes dans un parc municipal et obligatoirement la police municipale intervient lorsque un problème se pose. Les voilà justement, attirés par l'attroupement ! Les policiers se pointent, écoutent les uns et les autres et demandent au père de découvrir le bébé, de lui donner de l'eau et surtout de le mettre à l'ombre, à l'aise ! Pendant ce temps là, un autre policier appelle le chef de je ne sais pas quoi. Le chef doit avoir le manuel de ce qu'il faut faire et donne des instructions au téléphone. Le police relève les identités des parents, cartes d'identité à l'appui, et va faire un rapport. Une assistante sociale débarquera dans la semaine, fera son boulot en constatant comment est élevé l'enfant, s'il ne subit pas de mauvais traitements dus à la bétise, s'il......etc etc....du moins, j'espère qu'elle fera son boulot. Moi, j'ai fait ce que j'ai pu. Je pense qu'il aurait fallu éduquer le père afin qu'il puisse éduquer son fils...mais personne ne me demande ce que je pense. Les parents partent, avec dans sa poussette un bébé en body, ayant moins chaud, étant plus à l'aise. Les gens retournent à leurs occupations, avec je pense une question en tête : "comment ça va aller pour le bébé ? Le père deviendra-t-il moins con ?" Je ne sais pas !


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