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    Il y a quelques temps de ça, nous avons fabriqué, décoré et meublé des petites maisons. On s'amusait et c'était vraiment très marrant et joli.

    Lorsque j'ai déménagé, je n'ai pas pu les emporter (par manque de place) et je les ai donc données.

    Voilà Martine, c'était juste pour te montrer ce que nous avions fait.

    Ce sont les seules photo que j'ai retrouvées...mais ça te donne une idée de ce qu'étaient les petites maisons que nous avions.

     

    Petite maison

     

    Petite maison ouverte


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    Une histoire fait divers. Pourquoi je m'y intéresse ? Parce que ça s'est passé dans les Hautes Alpes, endroit où je vivais il n'y a pas si longtemps et que j'ai vu un reportage (que j'ai regardé parce que c'était les Hautes Alpes)

    Allez, je vous raconte le truc.

    Il a 65 ans, il s'appelle Marcel Amphoux. Il n'a pas beaucoup d'argent et vit chichement. Le reportage télé présente Marcel comme un agriculteur vrai, un comme on ne voit plus...Moi, je dirai que c'est un type dégueu, grave dégueu. Il ne prenait jamais de douche, ne se lavait jamais. Chez lui, c'était une vraie porcherie, un truc immonde. Bref, Marcel était vraiment spécial, mais spécial crade, pas spécial style authentique. Marcel est apprécié au village. Il est bourru mais sympathique, généreux, timide, gentil. Une jeune parisienne (jeune...euh...42 ans quand même) vient voir Marcel et tombe amoureuse de lui. Elle l'aime tellement qu'elle veut l'épouser. Dans le reportage, elle explique qu'à cause de son boulot, elle ne peut pas quitter la région parisienne mais dès qu'elle a des vacances, elle fonce dans le 05 retrouver son Marcel. Bon, comme il ne faut pas abuser, en général, ils vont dormir à l'hotel. Mais un week-end, oui, elle a dormi dans la cabane dégueu (elle a changé les draps) et elle aime Marcel comme elle n'a jamais aimé personne. 

    Bref, Sandrine Devillard arrive à ses fins et Marcel accepte de l'épouser. Le curé, sentant l'arnaque à plein nez, refuse de les marier. Le Maire, après enquête, ne peut refuser de les marier et hop, voilà les 2 amoureux légalement mari et femme.

    Sandrine vit toujours dans la région parisienne. Ah oui, j'ai oublié de dire qu'elle est agent immobilier...j'ai aussi oublié de dire que Marcel possède 5 maisons - bergeries (en mauvais état) au pied des pistes de Serre-Chevalier. Rénovées, ces batisses se négocieront facilement à 800 000 euros chacune. Ah oui, puis Marcel a aussi environ 5 hectares de terrain...en plein dans l'extension prévue de la station de Serre-Chevalier.

    Depuis leur mariage, Sandrine se fait rare, très rare dans le 05. Marcel est déprimé, il ne voit plus sa chérie, sa femme. Il se demande s'il ne s'est pas fait avoir. Il ne le saura jamais...euh...s'il ne le savait déjà...Il est mort jeudi dernier, dans un accident de voiture...qui était conduite par 2 amis de sa femme. La voiture est tombée dans un ravin. Marcel est mort, les 2 autres seraient vivants...bien sur, une enquête est ouverte !

    C'est une ignoble histoire hein ? Elle va surement toucher le pactole la Sandrine. A bien y réfléchir, je me dis que si vraiment elle a couché avec Marcel, si elle a fait l'amour avec lui, dans sa cabane pourrie où il y avait des restes de bouffe de plus de 6 mois, pas d'eau, pas de sol, juste de la terre battue, pas de lit mais une vieille paillasse de foin dégueu, qui devait puer un truc de ouf...La cabane, c'était immonde, vraiment immonde. Si vraiment elle a fait l'amour avec lui, dans cette cabane...ben les sous, les terrains, franchement, on peut se demander si elle ne les a pas gagnés...une pute prête à tout...Sandrine Devillard !

     

    photographie


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  • Nous cherchions un temple bouddhiste, une pagode...bref, un lieu de prière bouddhiste...pourquoi ? Pour voir, pour visiter, pour savoir, pour respirer.

    Nous sommes donc allés à Beauzelle (près de Toulouse), la pagode est installée dans la Villa "les Tilleuls" au 1, rue des Mésanges. 

    Le portail était fermé. J'ai sonné et un moine est sorti. Nous lui avons demandé si nous pouvions visiter. Il ne parlait pas et ne comprenait pas le français, mais on s'est débrouillé et finalement, on s'est compris. Nous sommes entrés. Il y a un lieu de prière, avec un grand Bouddha, des tableaux, des coupoles, des tentures...C'est un endroit ouvert à tous, ayant aussi pour but l'enseignement du bouddhisme et la méditation.

    Avec des gestes, des mimiques, nous avons pu discuter avec le moine. Il nous a expliqués que le dimanche matin, il y a rassemblement dans la salle et méditation. Nous avons aussi compris que cet endroit vit grâce aux dons des visiteurs, des bouddhistes. Sur de grands tableaux sont écrits les noms des donateurs

    Peut-être qu'un dimanche....


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  • Il y a 100 ans, un homme tentait le grand saut...Le pauvre !

    En 1912, Franz Reichelt a voulu tester son parachute du haut de la Tour Eiffel et ça n'a pas fonctionné, il s'est écrasé.

    Il faut reconnaître que les moyens matériels n'étaient pas les mêmes...Imaginez Félix Baumgartner à 40 000 mètres, sur une chaise, sans combinaison, avec de grosses lunettes et un casque pour toute protection...

    A la fin du film, on voit des officiels mesurer le trou fait au sol par la chûte.

    Il y a 100 ans, Franz Reichelt mourrait en sautant d'environ 300 mètres et en 2012, Félix Baumgartner sort vivant d'un saut de 39 000 mètres !

     


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  • Hier, mon chéri et moi sommes allés en vélo au marché de Tournefeuille. Arrivés sur place, nous attachons nos vélos à un poteau. Un couple de personnes âgées (très âgées) est au 1er étage d'un immeuble, sur le balcon. Ils nous regardent attacher nos vélos et le monsieur nous dit "attention, il n'y a pas longtemps, quelqu'un s'est fait voler son vélo ici !" Nous regardons le couple et je leur dis "il était attaché ? Parce que nous, on l'a fait !" Le vieux monsieur me répond "oui, oui, il était bien attaché et ça n'a pas empêché le vol !". Je lui dis, en plaisantant "mais nous, on ne va pas nous les voler car vous allez les surveiller hein ?" Le vieux monsieur a bien compris que je plaisantais et il m'a rétorquée "ah non, nous on va manger !" Je ne peux m'empêcher de rajouter "allez, on vous paiera le dessert !" et lui de me répondre "ah non, on passe à table. Allez, à bientôt !" et en souriant, le couple nous regarde partir.

    On s'est baladé au marché pendant près d'une heure et en partant, j'ai décidé d'acheter 2 gâteaux : un éclair au chocolat et un mille feuilles. On retourne vers nos vélos (qui sont toujours là, bien tranquilles, toujours attachés) et je regarde vers le balcon du couple. Personne ! Leur fenêtre est ouverte, ils doivent faire leur sieste (il est plus de 13H). De leur immeuble sort une dame. Mon chéri va la voir et lui demande "vous savez comment s'appelle le monsieur qui habite au 1er étage ?" La dame nous donne son nom. Je sonne à l'interphone. La voix du monsieur demande "qui c'est ?" J'ai eu envie de répondre "le plombier !" mais j'ai dit "les personnes qui ont attaché leur vélo en bas de chez vous !" Le vieux monsieur m'a ouvert la porte de l'immeuble, je suis entrée, j'ai monté les escaliers. Il était là, devant sa porte, étonné de me voir. Je lui ai tendu le petit paquet où étaient mis les 2 patisseries. Il m'a dit "mais qu'est-ce que c'est ? Non, non, on n'a pas surveillé vos vélos !" J'ai répondu "oui, je sais, mais ça nous fait plaisir. S'il vous plait, acceptez les !" Il était là, tout étonné, ne sachant pas quoi dire. Il a tendu la main, j'ai posé le paquet et lui ai dit "à bientôt. Bon appétit !" Il m'a remercié, tout confus et m'a demandée mon prénom. J'ai répondu "Florence. Bonne après-midi, à bientôt !" et je suis partie. Il s'est mis sur le balcon, avec sa femme et nous ont remercié, encore et encore.

    Ca m'a fait plaisir, j'étais contente. C'était rien, juste deux gateaux (j'espère qu'ils étaient bons), mais c'était surprenant...J'aime ça !


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